La fausse Mina a donc pris la décision d’envoyer le VGS afin d’éliminer tous les vampires infectés par les pied piper et qui se dirigent vers Tokyo. Mais cette décision assez cruelle commence à éveiller des soupçons…
Pendant ce temps, Yuki, maintenant prisonnière Mina, trouve une solution pour avouer à Akira la vérité. Dès que ce dernier a compris que Mina n’est pas sa vraie reine, il décide de lui faire avouer où se cache la vraie Mina.
Mais l’intruse prend à contre-pied tout son monde en avouant qu’elle est la seule et véritable Mina et que tous lui doivent allégeance ! Comment Akira va-t-il réagir ?
Ce onzième tome explore les sentiments des protagonistes principaux et chose assez exceptionnelle, le lecteur est tenu dans l’ignorance au sujet du sort de la vraie Mina. Elle fait juste une courte apparition dans une petite histoire finale.
On connaît maintenant mieux l’enfance de Yuki et pourquoi elle est attachée à Akira mais aussi pourquoi elle s’est prise d’affection pour Mina et a décidé de renoncer à celui qu’elle aime pour elle.
Akira finit par comprendre l’imposture et trouve refuge auprès d’un autre Akira qu’il a sorti d’un pas difficile. Au final on sait quelle décision risquée il prend malgré la proposition de la fausse Mina.
La tension politique monte également d’un cran dans ce tome car la fausse Mina veut que le règne des vampires existe seulement par lui seul et par une répression sévère. Elle veut renvoyer les beowulfs chez eux malgré l’avertissement d’Alphonse qui pense que seuls ces derniers peuvent assurer une vraie protection du Bund…
Un final très intéressant et qui donne envie de connaître enfin la suite qui s’annonce passionnante !